Quand Courbis évoque les camps de concentration dans sa causerie / France / Bordeaux / SOFOOT.com

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La belle époque.

Témoin privilégié du premier passage de Rolland Courbis sur le banc de Bordeaux aux débuts des années 1990, Didier Sénac ressort la boîte à souvenirs dans Sud Ouest. « Courbis, parfois il nous demandait des trucs on se disait qu’il était fou, et puis ça marchait. On jour, on reçoit le PSG et il dit à Lizarazu qu’il va démarrer attaquant parce que Paris aime repartir de derrière, et comme il était tonique et rapide, il avait pour consigne de déclencher le pressing sur Kombouaré qui n’allait pas très vite, se souvient-il. Mais ce qui l’a le plus marqué, ce sont les discours d’avant match du coach. Il avait des causeries exceptionnelles. Un jour, en Allemagne, il nous avait parlé des camps de concentration… Il nous avait fait monter un par un dans les tours. Je voyais Afflelou qui pleurait au fond des vestiaires. »

Une époque où Bordeaux fait peur. « Dans les années 1980, Bordeaux était un peu le PSG d’aujourd’hui. Quand on s’y déplaçait avec Lens, on se grattait la tête et on disait qu’il ne fallait pas prendre une valise, poursuit celui qui a débuté sa carrière dans le Nord avant de rallier la côte Atlantique et certains des meilleurs joueurs français du moment. Quand j’ai vu arriver Zidane à l’entraînement, il n’avait que 19 ans, mais tu te dis tout de suite que c’est un extraterrestre. »

Visionnaire.
TB



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