« L’ Amour est dans le pré »: comment les candidats vont-ils se draguer sans se toucher?

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M6

Les 13 participant(e)s de cette 15ème saison.

MÉDIAS – Loin des yeux, mais près du coeur. Cette année, le coronavirus n’aura épargné personne, pas même les émissions télé. Pour cette 15e saison de “L’Amour est dans le pré”, les candidats ont dû s’adapter aux mesures barrières, quitte à admirer leur prétendant(e) de plus loin. 

Avec plus de 80 agriculteurs, 19 mariages et 55 bébés, cette émission culte de M6 présentée par Karine Le Marchand n’est pas au bout de ses surprises. Qu’est-ce qui va changer? D’abord, la présentatrice se met dans la peau de cupidon et assiste aux rendez-vous via un écran où elle commente, analyse et conseille de loin ses petits poulains.

Un changement majeur attend aussi les téléspectateurs dès le 1er épisode: finie la traditionnelle séance de distribution de courrier, dans laquelle les agriculteurs et agricultrices cherchant l’amour découvraient les lettres et photos de leurs soupirant(e)s. 

Désormais, ils reçoivent directement chez eux les missives, puis se rendent à Paris pour faire connaissance de leurs potentielles âmes sœurs, en présence de Karine Le Marchand, la charismatique animatrice de l’émission. 

Pas trop aseptisée

Si le coronavirus est venu compliquer le calendrier des tournages, avec des enregistrements qui ont dû être reportés en pleine période de moisson, pour certains participants, et a également compliqué tout le travail de production effectué autour, l’émission n’en est pas ressortie trop aseptisée.

Ne pas pouvoir avoir de contact rapproché, c’est la déception pour ces participant(e)s de cette 15e saison. Installées sur une plus grande table pour respecter le mètre de distance, les prétendantes peuvent saluer de loin ou serrer du coude les agriculteurs. Un changement qui n’emballe pas tout le monde.

“S’il n’y avait pas eu le coronavirus, je l’aurais serré dans mes bras”, déclare une candidate dans le premier épisode. “J’avais envie de lui faire des câlins”, rajoute une autre.

Mais certains ont trouvé la parade. Jean-Claude, un sexagénaire agriculteur, souhaite absolument savoir si la future femme de sa vie a la peau douce. Problème: le non respect des gestes barrières. Heureusement, Karine Le Marchand arrive et amène un gel hydroalcoolique en expliquant qu’ils ont le droit, si bien sûr ils se désinfectent les mains.

Un bon moment en respectant les gestes barrières

“Une fois que les agriculteurs et agricultrices ont choisi les prétendantes et prétendants, on les a testés ainsi que les équipes (de tournage) et même si le risque zéro n’existe pas, on a tout mis en œuvre pour maintenir des conditions sanitaires maximales, en s’assurant qu’il n’y avait pas de cas de Covid”, explique la productrice.

Les verra-t-on s’embrasser à l’écran ? “Bien sûr”, promet Déborah Huet. “Ils couchent même, mais ça on ne l’a toujours pas filmé… On le garde pour la saison 16″, plaisante Karine Le Marchand.

Pour le directeur des programmes de M6 Guillaume Charles, les téléspectateurs devraient dans tous les cas être au rendez-vous. 

“Il y a une envie chez les téléspectateurs de se rapprocher des choses qu’ils connaissent, on l’a vu avec nos grandes marques de divertissement comme ‘Pékin Express’ ou ‘Top Chef’ en période de confinement et on est persuadés que ‘L’Amour est dans le pré’ aura cette vertu de doudou”, a-t-il parié.

À voir également sur Le HuffPost: Comment Maxenss a piégé “la France a un incroyable talent” sur M6 

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