
[ad_1]
PASCAL GUYOT via Getty Images
ÉDUCATION – “Oui, nous avons un plan.” Ce mardi 1er septembre, des millions d’élèves reprennent le chemin de l’école à l’occasion de la rentrée des classes, le tout dans un contexte forcément marqué par l’épidémie de coronavirus, qui a déjà grandement perturbé l’année scolaire précédente.
Preuve de l’existence de cette menace fantôme, alors que les petits Français n’avaient pas encore repris place sur les bancs de l’école, le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer évoquait déjà, lui, la possibilité d’un reconfinement en fonction de l’évolution du virus.
Rappelant que le gouvernement n’envisage plus de confiner l’intégralité du pays comme aux mois de mars et d’avril, il a présenté le dispositif prévu par ses services pour faire face à d’éventuels confinement locaux, dans des territoires qui seraient particulièrement touchés par un regain de l’épidémie.
“Continuité pédagogique” et enseignement à distance
“Dans ce cas-là, déclenchement de l’enseignement à distance, distribution de tablettes, déclenchement de toute une série de procédures…”, a-t-il listé au micro de BFMTV. “Il y a aussi le plan de continuité pédagogique, des centaines d’heures de cours enregistrées, et notre dispositif ‘Ma classe à la maison’, avec le CNED qui est prêt et encore enrichi par rapport à ce qui existait précédemment.”
Par ailleurs, Jean-Michel Blanquer a également évoqué le cas où l’accueil des élèves devrait être restreint, à l’image de ce qu’il s’est passé pour la fin de l’année scolaire écoulée, au sortir du confinement. Dans ce cas-là, les élèves seraient accueillis en demi-groupes dans les établissements scolaires.
Pour le reste du temps, là encore comme au mois de juin dernier, les enseignants auraient la possibilité d’organiser le travail à la maison grâce aux ressources en ligne et à des prêts de matériel.
À voir également sur le HuffPost: Ce qu’il se passera si un cas suspecté est détecté dans une classe
[ad_2]
Source link






Poster un Commentaire